Nom: Gens
Prénom: Jill
Rang: Psychopathe anti-féminin à tendance nympho.
Âge: 17 ans
Sexe: Féminin
Sexualité: Hétéro
Description Physique: Elle est une albinos c'est-à-dire qu'elle a le teint très pâle qui lui donne le style ""vampire'' et les yeux rouges. C'est une maladie qu'elle a depuis sa naissance. Elle s'arrange pour toujours avoir les cheveux teints en rose très pâle. Jill a une cicatrice partant de l'épaule gauche jusqu'au bas du dos. Elle possède une poitrine quelque peu... proéminente qu'elle adore exposer au grand public. Ses ongles sont toujours en bonne état pour creuser ses rivales. Son collier, qui lui a été donné par son père, il est le bien le plus précieux qu'elle a. C'est son seul lien affectif. Si vous osez tenté de toucher son collier, vous vous exposez à une mort imminente. Elle adore sa petite veste verte décolleté. On se demande pourquoi...
Description Psychologique: Elle déteste les femmes au plus haut point. Elle les considèrent comme ses rivales. Par contre, elle adore les hommes. Si vous voyez Jill (je parle des hommes) dans les couloirs de Mao, attendez-vous à ce qu'elle vienne vous coller et qu'elle vous propose de faire une petite promenade. Si c'est le cas, approchez d'une femme ou poussez-la violemment pour qu'elle s'en aille. On ne sait jamais jusqu'ou la petite promenade peut aller. Jill aime bien les clairs de lune et les regarder pendant des heures. Elle se couche sur le sol et commence à réfléchir. À quoi? Et bien, à la violence dans le monde, aux viols que les autres font, aux accidents de voiture, etc. Malgré sa haine des femmes et son caractère nymphomane, Jill est une fille intelligente.
Biographie: ''Madame, pouvez-vous venir dans mon bureau s'il-vous-plait?''
J'avais environ 5 ans. J'accompagnais ma maman à l'hôpital. Elle devait aller voir un médecin pour sa maladie. Celle-ci lui a fait des malformations au visage qui la rend toute ridée et le virus descend le long du corps.
''Madame Gens, c'est ça? Je reviens des archives médicales, j'ai consulté plusieurs médecins spécialisés et j'en suis venu à une conclusion. Je ne suis pas sûr que vous allez l'aimer... Votre maladie est incurable. Vous avez attendu trop longtemps. Puis-je vous parler en privé sans que votre fille soit là?''
Ma maman me regarda et me fit un signe de sortir du bureau. Je ne voulais pas la quitter mais ma mère persistait. Je sortit donc du bureau. Après quelques minutes, maman sortit du cabinet en pleurant et elle me regarda d'un air méchant. Qu'ai-je donc fait? On se rendit dans la voiture et prit le chemin vers la maison. Il était environ 18h30. C'était l'heure du souper. Mon papa avait tout préparé (Il était gentil mon papa). Une dinde accompagnée de champignons sautés, de petits pois et de pommes de terre. Après être sortie de table, je me rendis dans ma chambre. Je commençai à jouer avec mes poupées quand la porte s'ouvrit. Ma maman rentra dans la chambre avec un objet brillant dans sa main. Il était déjà couvert de sang. Elle me regarda et s'écrira:
''Espèce de pute! Tu sais pourquoi cette foutue maladie me ronge de l'intérieur? C'est à cause de toi! L'accouchement a affaiblie tout mon corps, permettant à la maladie de se propager plus facilement. Le médecin m'a dit que j'allais mourir dans pas grand temps car la maladie allait atteindre mes organes vitaux. Tout ça c'est à cause de toi et tu vas le payer cher de ta vie!''
En disant cette dernière phrase, ma maman de donna un coup de couteau qui me trancha tout le dos. Malgré la douleur, j'avais pu trouver assez de force pour me mettre à courir et sauter pas la fenêtre. Je commençai à courir vers la rue lorsque je vis un couple qui poussait une poussette.
*La femme ressembla drôlement à ma mère en ce moment là. Elle est avec un autre homme. Elle trompe mon père?!? En plus, elle m'a donné un coup de couteau. Je vais me venger.*
Je sautai sur ''maman'' et commençai à la massacrer avec mon ongles jusqu'au sang. L'homme s'enfuit en criant comme une tapette. Soudain, le bébé commença à pleurer. Comme elle est fatigante! Je lui réservais le même sort quand la sirène de police retentit. Je commençai à courir lorsqu'un taxi me renversa et je tombai dans le coma.
''Je ne sais pas si elle va survivre. La voiture la violemment frappée. Son crâne est ouvert et il y a beaucoup de sang qui s'en est échapper. Ça serait un miracle si elle survivait.''
Je me réveillai dans un lit d'hôpital avec un gros bandage au tour de la tête. Je regardai le calendrier qui était sur le mur. 15 mars. On était le 26 février. Je me rappelai de ce qui s'était passer. Ma mère avec le couteau, ma mère avec l'homme, le bébé qui pleurait, la police, le taxi... Tout arriva d'un coup. Un médecin arriva dans la pièce et me dit:
''Oh mon dieu... elle est vivante. Comment allez-vous? Avez-vous mal quelque part? Avez-vous des nausées?...''
Il me bombardait de questions de tout genre. Un autre médecin arriva dans la chambre et chuchota quelque chose au premier. Il me regarda, me fit un signe de tête disant qu'il s'excusait et sortit. Le deuxième médecin me dit:
''C'est un vrai miracle que vous ayez survécue. Il va falloir que vous passiez beaucoup de tests, de prises de sang et plein d'autre panoplie d'examens. Je dirais que vous allez rester pendant 1 an dans cet hôpital pour être complètement guérie.''
Les jours passèrent, les semaines, les mois. Je me sentais de mieux en mieux et à chaque jour, je me rappelais des raisons pour lesquelles j'étais ici. Un inspecteur de police vint à ma rencontre pour me dire que ma mère avait été arrêtée pour meurtre et tentative de meurtre. De plus, mon crime n'avait pas passer inaperçu. Plusieurs personnes avaient vues la scène et ils voulaient que j'aie d'énormes punitions pour avoir fait ça. La police m'annonça qu'en sortant de l'hôpital, j'allais être mise sous surveillance dans un orphelinat très sévère.
Quelque jours après ma rencontre avec l'inspecteur, une fille d'environ mon âge me rejoint dans ma chambre. Il parait qu'il manquait de place dans les autres chambres. Dès que je l'ai vue, l'image de ma mère avec le couteau vint à mes yeux. La journée passa et je fis comme si la fille n'était pas là. Le soir arriva et celle-ci dormait. Je me levai rapidement de mon lit, allai fermer la porte. Je tournai mon regard vers le petite fille, J'aimerais savoir quel goût à le sang. Je m'approchai de la petite fille et lui mis le poing dans la bouche avec mon autre main, je commençai à la poignarder avec mes ongles. La victime tenta de crier mais en vain. Je fis descendre ma main pour l'éventrer et commençai à jouer avec ses organes. Je bus un peu de son sang.
*Pas si mal...* pensais-je.
Toute la nuit je m'amusai avec la petite fille. Le lendemain matin, les docteurs me virent couchée sur les organes de ma victime avec son cœur dans les bras. Les médecins poussèrent des cris, appelèrent la police qui vint me chercher. On me nettoya et m'emmena dans un petite maison tranquille ou on pouvait entendre un sergent crier des ordres à des jeunes.
''Tiens. Voilà ton nouveau refuge, ma petite. Maintenant, tu n'es plus notre problème.''
Les années passèrent. Le compte était de: 5 meurtres (Que je croyais qu'ils n'avaient étés jamais découvert d'ailleurs...) et quelque massacres que j'ai trouvée particulièrement amusants. Tous ces crimes ont été commis sur... des filles. J'ai développé ce passe-temps. De plus, j'ai rencontré un gars. Steve Dubois. Il m'a montré la voie vers le sexe. Toutes les filles étaient après lui. Mais tout le monde sait qu'il est à moi. Toujours au fil des ans, plusieurs crimes ont étés commis par moi. Au terme de ma 12ème année à l'orphelinat (j'ai 17 ans), on m'a donné une piqûre somnifère et je me suis endormie. Je me suis réveillée dans un camion dont les chauffeurs parlaient d'une institut nommé Mao Litune.
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Comment avez-vous découvert le forum: Par Chester Lionheart qui d'ailleurs je remercie car il m'a aidé un peu pour mon texte.
Aimez-vous le design?: J'adore^^
Si non, pourquoi?: Ben.....
Autre: Désolé pour les fautes et je risque de me connecter pas très souvent. Je n'ai pas d'ordinateur à la maison.
(Bon, j'ai un peu de misère avec le passé simple donc, soyez un peu indulgent. Merci. PS: J'ai tenté de corriger le plus de fautes possible veuillez m'avertir s'il y en a toujours trop)