Me faire signe de m’asseoir, me faire signe de m’asseoir à moi ?
Bref, n’en rajoutons pas non plus, je m’assis. Lui lançant un grand sourire, je me souvenais parfaitement de lui, et de son petit ami, les moindres de leurs traits s’étaient gravés dans mon visage, ils m’avait feinté, ils m’avaient eus par surprise. Ils avaient pu s’enfuir, et pour ça je les félicitai, et je les respectai, aucun ne s’était jamais enfui avant. Et avant je m’attaquai à des branches ennemies de la mafia. Il savaient de quoi être fier. Je ne m’étais pas préparé au taser. Je m’allumai une cigarette et e fixai. J’attendais qu’il parle ? Le concept de l’interview m’avait plu, j’avais envie de m’amuser un peu, de faire peur peut être aussi. Mais dans cet endroit, les gens avaient peur moins facilement. Trop habitués à voir la souffrance et le sang.